The GOSPEL TRUTH
 CATHERINE BOOTH

 HESITER ENTRE DEUX OPINIONS

1 Rois xviii. 21.-« Et Élie vint à tout le peuple et dit, combien de temps allez-vous vous arrêter entre deux opinions? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le: mais si c'est Baal, alors suivez-le. Et le peuple ne lui répondit pas un mot. »

 

Vous qui êtes familiers avec cette histoire vous souviendrez qu'Achab était un des pires rois qui ce soit jamais assis sur le trône d'Israël. Il était le fils et le petit-fils de rois idolâtres; et de peur qu'il ne soit pas en mesure d'exercer sur ses intentions mauvaises suffisamment par lui-même, il épousa une femme païenne et idolâtre, et par son aide, il a réussi à étendre l'apostasie presque sur toute la nation d'Israël. Nous ne sommes pas étonnés de lire dans 2 Rois xvii. 33, qu'ils craignaient l'Éternel et servaient leurs propres dieux, car il s'agissait de pauvres colons païens venus d'Assyrie. Mais Israël fut une nation adorant ostensiblement Yahvé. Et bien que sans doute Achab et sa femme avaient l'intention de subvertir totalement l'adoration du vrai Dieu et mettre à sa place celui de Baal; ils ne pouvaient pas, ils n'osèrent pas viser à le faire tout à la fois et donc ils ont complété l'adoration de Dieu par le culte de Baal. Ils ont construit une maison pour Baal, planté un bosquet et établi son culte aux côtés de l'adoration du Dieu d'Israël, et ils ont réussi à persuader la majorité de la nation à les suivre.

Hélas! Hélas! C'est généralement le cas quand ceux en haut lieu exercent leur influence dans le mauvais sens et contre Dieu. Quel jour terrible de jugement est à venir pour les méchants rois et souverains, en fait pour toutes les personnes dans des lieux d'influence et d'autorité qui l'utilisent contre Dieu! Il sera assez mauvais pour un homme d'avoir à répondre de la damnation de son âme; mais, Oh! Qui sera-ce d'avoir à répondre de la damnation de milliers d'autres? Vous qui influencez les autres--vos épouses, vos enfants, vos maris, vos amis, vos serviteurs, ceux qui vivent sous le même toit avec vous - il y a un jour de jugement à venir, et un jour terrible de compte ce sera.

Eh bien, ce roi et cette reine ont réussi à instaurer cette religion païenne en Israël; ils ont mis en place cette idole de Baal à côté du temple du Dieu d'Israël et induit presque toute la nation à s'incliner devant elle. Ils avaient choisi l'idolâtrie, alors qu'ils se pensaient, solidement établi et mangeant et buvaient et se rendaient joyeux de cette conquête, quand Elie arrive sur la scène, comme s'il était tombé du ciel. Achab face à cet homme, vêtu de poils de chèvre, avec une ceinture de cuir autour de lui, un vrai, courageux prophète de l'Éternel des armées, fait face à Achab comme aucun autre qu'un envoyé de Dieu n'ose le faire, et il dit: "l'Éternel est vivant '--remarquez l'allusion, votre Baal est un dieu mort--" il n'y aura ni rosée ni pluie en Israël ces années, que sur ma parole"; « et je mets en jeu la véracité de mon témoignage sur Sa vie; s'Il vit, elle doit être accomplie »; et puis il a disparu aussi soudainement qu'il était apparu. Le Seigneur avait fourni une cachette pour son serviteur. Il l'envoie dans le ruisseau Kerith, pour être nourri là par un miracle, alors qu'il sort de sa place pour châtier ce peuple idolâtre, récidiviste, rebelle. Peut-être le Seigneur souhaite épargner à Élie les scènes auxquelles il aurait dû assister, ou il a prévu que ce tyran sombre harcèlerait constamment et essayerait de le tuer. De Quelque manière que ce soit, Dieu le cacha; mais quand la famine commença à faire son apparition, alors ils ont commencé à rechercher Elie.

Je me demande ce qu'Achab voulait avec Elie. Sa conscience coupable lui a dit que cet homme avait la clé des nuages, que cet homme était presque associé à cette terrible catastrophe, et alors il envoie des messagers pour le retrouver--comme Obadiah dit à Elie, "il n'y a aucune nation ou Royaume, où mon Seigneur n'a pas envoyé te demander: et quand ils disaient, 'il n'est pas là'; Il faisait jurer par serment le royaume et la nation qu'on ne t'avait pas trouvé. »

Mais il ne pouvait pas le trouver. L'homme que Dieu cache, le diable ne le trouvera jamais, jusqu'à ce que Dieu lui en donne la permission, et alors, il ne sera pas en mesure de toucher un cheveu de sa tête. Comment en sécurité sont ceux qui sont sous la garde du Dieu d'Elie! Combien indépendants ils sont des opinions et des menaces des hommes! La famine propage la désolation partout sur la terre, jusqu'à ce qu'il y ait grande rareté de nourriture pour l'homme et la bête, et le roi envoie Obadiah pour découvrir le petit ruisseaux qui pourrait rester, ou les sources qui ne sont pas taries, afin, si possible, de trouver un peu de verdure pour le bétail; et comme Obadiah poursuit son chemin, Élie le rencontre et dit: 'Va, dis à ton Seigneur, voici, Elie est ici', et Obadiah répond: ' tu dis, va, dis à ton Seigneur, voici, Elie est ici. Et il arrivera, dès que je l'aurais quitté, que l'Esprit du Seigneur t'emportera je ne sais où; et ainsi quand j'irai, le dirai à Achab, et qu'il ne te trouve pas, il me tuera. »

Mais Elie lui donne l'assurance dont il avait besoin. « Aussi vrai que l'Éternel des armées est vivant, devant lequel je me tiens, je vais assurément me montrer moi-même à lui aujourd'hui. »

Voici le courage--le vrai courage d'un homme que Dieu a envoyé. "Je n'ai pas peur de ton maître; Je n'ai pas peur de ses donjons ou de ses billots. Je vais me montrer à lui.' Il dit, en outre, « Va et dis-lui Elie, est ici--» pas que Elie va venir, mais ici--"s'il me veut, il peut venir me trouver. Je ne vais pas fuir par crainte de lui »; et donc Obadiah va et le dit à Achab. Qu'est-ce qui a conduit Achab à rencontrer Elie? Cela pourrait être qu'il a été poussé par l'Espoir; cela pourrait être qu'il était poussé par la peur; mais il devait aller au-devant de lui. La famine avait apporté les choses à un point culminant. Il doit rencontrer cet homme de Dieu. Il faut essayer soit d'obtenir ce pouvoir de lui en le menaçant, ou il doit le convaincre et l'implorer. Il va à sa rencontre. Ne vous imaginez-vous pas que vous les voyez--celui-ci représentant le diable, l'autre représentant le Dieu d'Israël? Les yeux d'Achab au moment où il tombe sur Elie, il commence par une fausse accusation--"Es-tu celui qui trouble Israël?" C'est toujours ainsi avec les pécheurs non-repentants, rebelles. Ils imputent les conséquences de leurs péchés aux fidèles serviteurs de Dieu, qui sont envoyés pour les réprimander et les réprouver ils disent: ' Oh! Laissez-moi tranquille. Vous êtes toujours à annoncer de mauvaises choses. Vous êtes toujours à dénoncer les personnes. Vous êtes un troubleur d'Israël.' Mais Elie retourne l'accusation et dit: « je n'ai pas troublé Israël; mais toi et la maison de ton père, en ce que vous avez abandonné les commandements du Seigneur, et avez suivi les Baals. » Il met la controverse sur son vrai pied; Il retrace la catastrophe à sa vraie source--leur idolâtrie, retour-en-arrière et rébellion. Là, il se trouve avoir proféré la vérité avec tout le courage et l'audace d'un lion, parce qu'il sent qu'il a le sceau du roi des rois à son énonciation. « C'est toi et la maison de ton père qui avez troublé Israël »; et puis il assume la part du roi, inverse les rôles, et lui commande « Va ». Oh! L'autorité que la possession de l'Esprit de Dieu donne à son serviteur, et ce qu'il ose faire avec cet Esprit en lui! Maintenant, dit-il, « envoie et rassemble pour moi tout Israël à Mont-Carmel et les prophètes de Baal. »

« Quelle impudence! » Achab aurait pu dire. « Crois-tu que je vais rassembler les prophètes de mon dieu favori? Qui es-tu pour me commander ceci? » Mais il n'y a pas un mot. Pauvre lâche tremblant! Sa conscience fait écho à l'accusation d'Élie. Il savait qu'il était coupable et que leurs péchés et leurs iniquités ont été la cause de cette visite, et il voulait la pluie. Il voulait que le terrain soit ramolli et rendu fécond; il voulait des cultures pour son ménage et les gens et le bétail, et il n'a pas osé nier la parole d'Elie ou résister à son autorité. Donc il est allé et a obéi, et il rassembla la nation récidiviste sur les côtés du Carmel. Il n'y avait aucun bâtiment en Israël, assez grand pour contenir cette grande Assemblée. Quand donc ils furent réunis, Elie vient et se dressa au milieu d'eux et dit: 'combien de temps allez-vous vous arrêter (hésiter)?' Ils étaient là, cette vaste multitude, vacillant, partagés d'une part entre le service de Dieu et le service de Baal de l'autre. Leur roi et reine, les faveurs de la cour et peut-être un grand nombre de leurs avantages terrestres et possessions dépendaient de leur choix. Ils cherchaient après Baal sur la gauche, la main et les revendications du Dieu d'Israël, sur la droite; et tout comme ils ont été se balançant çà et là comme un champ de maïs dans le vent, Elie crie, 'maintenant donc "choisissez qui vous servirez.[...] Combien de temps vous arrêterez entre deux opinions? Si le Seigneur est Dieu, suivez-le: mais si c'est Baal, alors suivez-le. " Je demande une décision. Je demande un règlement [résolution, liquidation] de cette controverse.'

Je veux juste vous faire remarquer une ou deux choses dans l'État représenté ici comme typique de la condition d'un grand nombre ici aujourd'hui. Regardez ce qui est implicite dans l'arrêt, car il s'applique également à vous qu'à l'Israël idolâtre. Que cela signifie-t-il, cet arrêt entre le service de Dieu et de Baal, ou le service de Dieu et de n'importe quoi d'autre--soi, le monde ou Satan sous quelque forme qu'il peut assumer? Cela signifie d'hésiter dans toute conduite que nous poursuivons; d'examiner les motifs sur la main droite et à gauche; débattre dans notre esprit, la sagesse ou la justesse des deux cours de conduite et de les comparer l'un avec l'autre.

Maintenant ces Israélites furent appelés à trancher entre les exigences de Dieu et les revendications de Baal. Vous êtes appelés à décider entre les revendications de Dieu tel qu'établis et mis en avant [impliqués, entraînés] par la mort de son fils et le service du monde, la chair, et le diable, qui est votre Baal. Et c'est ce qu'Elie est venu et a exigé de ces gens envers qui il avait précédemment exercé son ministère et desquels [pour lesquels] il était prophète, de même je viens et vous demande au nom de l'Éternel Dieu d'Élie à vous qui avez reçu mes messages au cours des trois derniers mois, que l'Esprit de Dieu les a fait regarder et réfléchir à leur sujet--j'exige de vous un règlement de cette controverse. Maintenant, « combien de temps allez-vous vous arrêter? » Pensez-y, je ne parle pas au sens figuré--Dieu nous en préserve. Si je ne croyais pas que j'ai apporté aussi véritablement les messages de Dieu à vous qu'Elie l' a fait aux Juifs, je devrais jamais ont résisté ici. Je crains--non, je m'attends à cela--que le salut de quelques âmes dépend de la façon dont ils se décident en ce qui concerne le message de cet après-midi. Oh, que l'Esprit vous aide à vous décider de la bonne manière!

Pour vous aider à cette décision, je veux vous faire remarquer, tout d'abord, qu'il y a un sens dans lequel nous ne nous arrêtons jamais --ne restons jamais immobile. En fait, il y a un sens dans lequel rien ne s'oppose encore. Mais c'est spécialement vrai pour le monde de l'esprit et de l'âme. Une fois venus à l'existence, pécheur, vous ne restez jamais immobile. Vous devez augmenter, grossir dans la capacité et la jouissance du bien, ou dans la capacité et la réalisation du mal pour toujours et à jamais. C'est une belle pensée pour les justes, que, une fois lancés dans le sillage de la progression éternelle, nous ne resterons plus immobiles, mais allons augmentant, et croissant, de plus en plus, jusqu'à ce que, comme le Sauveur l'a dit, nous devenions comme des dieux dans notre capacité pour la sainteté et le bonheur pour toujours. Nous ne savons pas en effet ce que nous serons. Dieu lui-même ne pourrait pas l'expliquer, mais nous serons semblables à Lui. Oh, que c'est beau! Il convient de tenir pour, c'est digne de souffrir pour, de lutter pour, de mourir pour. Cette voie de progrès éternelle, une fois acquise, si seulement vous vous cramponnez et persévérez jusqu'à la fin de ce conflit mortel, vous continuez à aller de l'avant pour toujours!

Mais, Oh! C'est une terrible pensée pour le pécheur. C'est tout aussi vrai pour vous. Vous devrez aller malgré vous-même. Vous devrez grossir dans le péché et la ressemblance avec le diable. Ah! Pécheur, arrêtez et réfléchissez combien vrai cela a été vous DANS LE PASSÉ. Regardez en arrière à vous-même lorsque vous étiez un petit garçon de dix ans. « Ah! » direz-vous, « J'étais alors un vilain garçon. » Très probable; mais si quelqu'un vous avait dit que dans cinq ou ans dix, vous auriez été un aussi grand pécheur que vous êtes aujourd'hui, qu'auriez-vous dit? Oh! Comme vous avez grandi! Comment le diable se félicite sur vos progrès rapides et terrible! Vous n'auriez jamais pensé que vous deviendriez si grand dans le mal. Vous n'avez jamais pensé que vous seriez un tel pêcheur. Alors en raisonnant par analogie du passé vers l'avenir--ainsi vous devez grandir pour toujours. Il n'y a aucune halte pour vous. Oh, si, IL Y EN A UNE, Dieu merci. Il en a été ainsi de ces Israélites, bien qu'ils avaient signé sur le chemin vers le bas de récidive, de la rébellion et de l'idolâtrie, et qu'ils seraient allés à destruction totale; mais, bénis soit Son nom, dans sa bienveillance, il a dit, "Je ne vais pas les laisser aller tout droit sur la ligne de démarcation sans un effort." Il descend du ciel à la terre sur la partie supérieure du Carmel et met sa main sur eux et dit: "mettez un terme! restez immobile! Écoutez! Pensez! réfléchissez! "et par la bouche d'Elie Il leur fait considérer. Alors, quand il les a eu convaincus, il dit, "Combien de temps serez-vous avant de vous installer sur le côté droit--pour moi, pour la justice, pour le Salut, pour le ciel? Combien de temps allez-vous rester arrêtés? »

Ah! Il y a une halte pour vous et une seule. Son amour infini ne pouvait pas vous laisser descendre à la damnation éternelle sans vous donner une chance et il a élevé la Croix et tendu sur elle qui a cassé, victime de saignements et il y a la halte pour tous les pauvres pécheurs. Et maintenant, comme Elie a appelé ces Juifs depuis Mont-Carmel, Dieu vous appelle du Calvaire et dit, 'Homme, arrête! mets fin à ta course vers le bas! "et du corps brisé, ensanglanté de son fils il crie à haute voix pour vous, ' tournez-vous, tournez-vous; car pourquoi mourriez-vous? Venez à Moi et vivez. »

Il y a donc une halte; mais si vous obtenez enfin passé qui, il y a plus d'arrêt pour vous pour toujours. La loi même de votre être va vous forcer sur et vous forcer vers le bas. Il ne viendra jamais un moment quand vous pouvez tourner rond et dire, ' Eh bien, maintenant, je pense que je suis assez mauvais. Je pense que je suis allé assez loin dans la pratique de l'iniquité et la rébellion contre Dieu. Je pense que je vais tourner rond maintenant et arrêter "--jamais, vous devrez aller à croître dans la capacité pour le mal, et supportant la conséquence de till mal, vous devenez un diable très! Vous pouvez arrêter jamais plus. N'est-il pas vrai? Ne pas votre raison vous dit que c'est vrai? Ne pas votre conscience vous dit que c'est vrai? Ne pas l'esprit de Dieu tonnerre dans vos oreilles--« Amen »? Vous savez qu'il est vrai--pas plus s'arrêter!

Oh! mon ami pécheur--qui sont de mettre un terme, vous à qui la voix de Dieu est déclenchée dans votre carrière sauvage, l'arrêt et l'Ecoute. Qu'allez-vous faire cet après-midi? Combien de temps stopper vous? Va vous régler cette controverse sur le côté droit et, sortant de la voie descendante, commencer sur le parcours éternel de la croissance dans la justice et de bénédiction pour toujours, ou sera vous aller stopper de suite jusqu'à ce que Dieu s'installe la controverse pour vous? Qu'allez-vous faire? Combien de temps stopper vous?

Je veux que vous notiez, deuxièmement, que le fait que vous interrompez prouve que Dieu a mis sa main sur vous.

Le diable ne laisse jamais les hommes arrêter si il peut l'aider. C'est la dernière chose qu'il songerait jamais à faire. Il maintient donc entièrement occupé et ainsi de suite le lecteur pour les choses du monde et de la chair, qu'ils n'ont pas le temps de mettre un terme. Vous pouvez les obtenir difficilement à vous écouter une minute ensemble. Il dit: « si je leur faire halte, je suis fait. Si je les laisse t'écouter et prendre dans les messages que la femme est de donner, ils peuvent être sauvés "; et donc il pousse dans les affaires, le plaisir, famille, conséquences, coûts ou quoi que ce soit à portée de main. Vous savez qu'il a essayé de garder certains d'entre vous, loin de toutes ses forces. Vous arrêtée vers le haut à l'entrée dans à la porte--si vous devriez venir ou non; mais l'esprit de Dieu avait mis la main sur vous. Et vous savez qu'aussi vite que je pousse en vérité à une oreille, il est le poussant à l'autre, avec ses raisonnements infernales. Il ne laisse jamais les hommes s'arrêter. VOUS aurait jamais avoir tiré vers le haut un seul instant sur votre chemin de la perdition, si le grand Dieu tout-puissant n'avait pas descendu et vous tiré vers le haut. Ce n'est pas en moi. Ne me donnez pas le crédit. Ce n'est pas dans ce livre; Ce n'est pas dans le ciel; Ce n'est pas sur la terre; Ce n'est pas en enfer. Ce n'est pas dans tous les anges de Dieu pour faire un pécheur stopper--rien mais le Saint-Esprit pouvait faire cela. Il a vous tiré vers le haut. Il a fait face à vous sur. Il vous a fait arrêter. Il a sursauté et vous inquiète. C'est Dieu et Dieu seul, qui l'a fait! Par conséquent, je vous supplie--pensez. Hélas! Pécheurs traitent avec nous et avec notre vérité, comme s'il s'agissait d'une fiction. Tout ce que nous pouvons faire, nos larmes même et supplications, ils traitent son si il s'agissait d'un drame. Ils n'entendront pas; ils ne croiront pas. Ils ne seraient pas quand il a envoyé le fils lui-même, et ils ne seront pas quand il envoie son Elie, ses messagers; mais Oh! Mon ami, mon âme pour le vôtre, il y a une heure à venir quand vous saurez qu'un prophète a eu parmi vous. Il y a une heure à venir quand vous saurez que c'est Dieu qui a tiré vous place dans cette salle, et que vous avez eu une chance pour votre âme. Comme le Seigneur Dieu d'Élie est vivant, tu sauras que c'était lui, tout ce que vous dites maintenant. Oh, qu'il peut vous aider à connaître en cela votre journée de visite! Oh, que vous pouvez le savoir, écoutez et soumettre et être sauvés! Puis la fin sera répondue, et nous aurons tel un cri quand on arrive à la gloire. Mais si vous oubliez tout le reste, n'oubliez pas que c'est Dieu qui pleure, « combien de temps vous arrêterez vous! »

Homme, pensez à comment vous Le traitez; Si vous insultez et repoussez Son invitation et poursuivez dans le mauvais sens, selon toute probabilité, vous n'arrêterez jamais plus, mais vous aller continuerez de plus en plus vers l'enfer! Cela me paraît certain de certains d'entre vous, à moins que vous ne vous arrêtiez immédiatement pour être sauvé. Allez combien de temps hésiterez-vous combien de temps allez-vous risquer la condamnation?

Alors demandez-vous, comment Dieu vous a stoppé, et pourquoi vous êtes-vous arrêté? Oh! Il vous a ouvert les yeux, et vous êtes comme l'âne de Balaam--vous n'avez pas osez aller de l'avant. Vous feriez semblant, mais vous n'oserez pas. Il y a une épée nue dans la chemin. Dieu vous a ouvert les yeux. Il vous a fait voir les horreurs d'une âme coupable sur un lit de mourant. Vous le voyez devant vous. Il a découvert la fosse, et vous avez eu un aperçu. Il vous montre ce à quoi avant vous étiez aveugle et ne voyiez pas. Vous vous êtes levé et secoué et avez dit: « C'est un cauchemar »; mais, non, c'était Dieu découvrant la fosse. Il a vous a fait regarder dedans. Il vous a ouvert les oreilles, et l'air a été sonore avec des sons d'autres mondes: maintes et maintes fois, les exhortations et avertissements mourantes de ce père chrétien et la dernière prière suppliante de cette mère sainte, et les accents enfantins de cette fleur qu'Il a pris de votre foyer. Vous les avez entendu parler de nuit et de jour et vous vous êtes secoué et dit, 'Je ne l'entendrai pas', mais c'est venu encore et encore. Pourquoi?

Parce qu'IL A OUVERT VOS OREILLES. Il y a six mois, vous ne les entendiez pas. Pendant des années, ça a été noyé dans le bruit et les luttes de la vie extérieure, et vous avez fermé vos oreilles afin de ne pas entendre. Mais Dieu les a ouvert et vous a fait entendre. Ah! Certains d'entre vous ont entendu le pleurnichement mourant de compagnons condamnés. Vous savez où ils sont. Vous savez dans quelle mesure vous êtes allé avec eux dans la trajectoire descendante et où vous aviez à vous séparer, et vous savez comment ils sont allés par dessus bord. Maintenant Dieu vous a rencontré ici. Ça n'a pas été mes pauvres mots. Ce n'a pas été tout ce que vous avez lu. Ce n'a pas des amis que vous avez rencontré. C'est le Saint-Esprit--Dieu--qui a ouvert vos oreilles. Combien de temps encore, homme, hésiterez-vous? Est-ce que rien d'autre n'y fera que les flammes de l'enfer?

Ensuite je tiens à noter, enfin, que LE PLUS LOIN VOUS ALLEZ LE PLUS VITE et moins la possibilité que vous vous arrêtiez est grande. Comme une chute de pierre, l'élan du passé vous poussera en avant malgré vous lorsque vous arriverez près du fond. Le poids des actes coupables du passé viendra derrière vous comme un coureur outré, vous entraînant vers le bas, vers le bas, le bas; et plus bas vous allez plus loin vous allez, et plus vite vous allez. Oh! Mes jeunes amis, mon chers jeunes gens, écoutez. Il y en a beaucoup ici, un vieillard dirait: « Amen, » s'il osait. Il dirait: « c'est vrai, mon garçon. Vous seriez à l'écart de la destruction. » Alors venez à la croix au début; dites, « Le Seigneur, c'est Lui qui est Dieu, et je le servirai.» Pécheur, chaque jour vous vivez que vous accumulez les actes coupables du passé pour vous écraser plus bas et plus bas, jusqu'à ce que vous sombriez dans la fosse qui n'a aucun fond. Ne croyez pas le diable. Ne croyez pas ses agents. Ne croyez pas les mauvais livres. Ne les lisez pas. N'ayez rien à faire, avec tout ce qui diminue le péché dans votre estimation et lui donne une apparence de chose insignifiante. Gardez-vous hors de ses rapides. Ils vous entraînent dans les chambres de la mort--la mort, vers la mort éternelle. Mon ami, allez-vous arrêter cet après-midi? Le drapeau noir de la vengeance de Dieu flotte sur vous nuit et jour pendant que vous êtes en dehors du chemin qui mène à la vie. En dehors de Christ, il est un feu dévorant. Oh! Je sais que les religieux gnangnan de ce jour ont fait de Lui un Dieu comme eux-mêmes, prenant à la légère [clignant sur] l'iniquité; mais il leur montrera ce jour-là qu'Il est toujours, à toute iniquité, un feu dévorant. Il n'aura RIEN À VOIR AVEC LE PÉCHÉ, mais il le mettra dans le charnier qu'il a préparé pour la corruption de son univers. Il est un Dieu Pur et Saint. L'inondation de sa colère est à venir, et si vous ne faites pas hâte elle vous submergera pour toujours et, Oh! La cloche de votre malheur peut sonner à tout moment.

Combien peu ces gens dans la rue Percy, cruellement, savaient ce qui était en réserve pour eux! Ce Monsieur en remontant la rue Percy s'attendait peu à ce que son destin allait être prononcé en un instant. Combien peu de personnes dans le transport ferroviaire, quand les trains se sont heurtés, s'attendaient à ce que, en un instant, alors qu'ils ne s'y attendaient pas, leur destin serait fixé! Mes amis, combien de temps hésiterez-vous?.

Et n'oubliez pas une pensée encore, que l'arrêt [l'immobilité, l'hésitation] de l'âme n'est pas comme l'immobilité du corps, à cet égard--vraiment vous ne restez jamais immobile. Si Dieu vous a fait sortir du chemin de destruction et vous a fait écouter et discuter [débat, argumente] avec vous, et vous, comme c'est le cas, réfléchissez et considérez quel chemin vous allez prendre, quel chemin vous irez, irez, et irez toujours plus, tout le temps. Oh! Il serait bien pour certains d'entre vous de regarder en arrière et de penser. Il est bon que les gess de s'arrêter et de se rendre compte combien VIEUX ILS SONT et de penser quand Dieu les a-t-il tout d'abord retiré et depuis combien de temps ils ont commencé à s'arrêter. Les anges ont peur de le regarder. Les diables sont heureux de le regarder: et si vous le regardez, peut-être que vous serez effrayés comme les anges. Combien de temps? Il me semble que l'ange le fait retentir sur cette Congrégation cet après-midi--Combien de temps hésiterez-vous? Dans une immobilisation physique, comme à la jonction de deux routes, par exemple, un homme peut s'arrêter et réfléchir à laquelle il doit prendre, mais pendant qu'il le fait il ne fait pas le progrès que ce soit. Il ne va pas dans la mauvaise direction de de même ne va pas plus loin dans la bonne; Il est tout simplement immobile. Mais il n'en est pas ainsi spirituellement, si Dieu avait fait que ça le soit, j'allais dire; ce ne serait pas si grave; mais alors que vous vous êtes spirituellement immobile, vous vous précipitez actuellement aussi vite vers la destruction que jamais.

LE TEMPS vous transporte. Vous êtes comme un homme dans un bateau sur un courant [flot] tranquille, au bout duquel les rapides se précipitent [débouchent, aboutissent sur des chutes]. Vous vous tenez sur vos lauriers et le bateau est glisse tellement doucement que vous ne percevez pas la requête, et vous dites tout le temps, "Vais-je remonter le courant ou le descendre?" et les fleurs fleurissent au bord, et il y a peut-être de joyeux compagnons qui vous appellent et vous êtes sifflant et chantant, et c'est comme un jour de mai tandis que vous glissez vers le bas; mais vous allez vers le bas, vers le bas pendant tout ce temps, et les rapides sont juste en dessous. Ah! Il n'y a bien une pauvre âme ainsi à la dérive à la damnation. Il y a beaucoup de pauvres âmes qui se laissent ainsi négligemment dériver vers le bas pour les rapides de la mort éternelle qu'ils n'ont jamais voulu. Oh! Il y a quelques vieillards dans cette salle et de vieilles femmes, qui ont été à la dérive, dérivant, et dérivant, jusqu'à ce qu'ils ont presque disparus; et il y en a des plus jeunes, aussi, qui, par hasard, sont juste aussi près des rapides, car, dans cette course, il n'en va pas selon l'âge. Ils sont simplement assis sur leurs avirons, à la dérive. « Oh! », ils disent: ' je ne souhaite pas aller vers le bas. Certainement pas moi! J'ai eu un père chrétien et une mère qui priait, et j'ai écouté les sermons toute ma vie. Moi! Certainement pas. Je n'ai pas l'intention d'aller vers le bas. Je ferai demi-tour et me retirerai [rediriger], un jour ou l'autre [tôt ou tard, un de ces jours, à l'occasion], dans la bonne direction »; et tandis que les mots sont dans sa bouche il est pris dans les rapides--un accident, une fièvre, la rupture hémorragique--un vaisseau, ou il succombe à une maladie cardiaque et il est parti, et ses amis lèvent leurs mains en horreur et disent, « pourquoi n'as-tu pas écouté les nouvelles? » « Quelles nouvelles? » « Un tel a été retrouvé mort dans son lit hier matin »; ou, « Un tel descendait de la rue Percy, il y a eu une explosion et tout ce que j'ai vu de lui était qu'il a été soulevé à plus d'un mètre du sol, et il est tombé mort sans voix. » De tels cas ne nous parviennent-ils pas à travers presque tous les postes? Les chroniques des journaux ne les relaient elles pas presque tous les jours et heures? Ces pauvres âmes étaient dans les rapides, et avant qu'ils l'eussent su, ils avaient disparu.

Maintenant, combien de temps--combien de temps? Le Seigneur vous aide à retourner la proue de votre bateau cet après-midi et qu'Il prenne vos avirons [rames], pendant qu'il y a une chance. Le Seigneur vous aide à faire tout droit demi-tour, pas vers le Carmel, mais jusqu'au Calvaire et à descendre à ses pieds ensanglantés et à vous donner à Lui. Quittez le monde, la chair et le diable et engagez-vous à Lui qui est mort pour vous, et qui a droit sur chaque particule de votre corps et de votre âme. Avancez. Voici le lieu d'arrêt [la halte]--la Croix. Vous ne l'avez pas encore passée, Dieu merci. Vous pourriez l'avoir dépassée, mais Il crie [pleure] toujours, « Venez; et quiconque le veut, qu'il prenne de l'eau de la vie librement.» (Ap. 22.17) Allez-vous venir et boire? Amen.

 

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